Aziliz Manrow
Biographie :
Aziliz Manrow est une enfant de la Bretagne, issue d’une lignée d’artistes et de militants de la culture bretonne. Son inspiration, elle la puise dans la Bretagne comme dans la Pop Country américaine. Point de terre plus à l’ouest en Europe que celle du Finistère ! Parmi ses influences, on retrouve The Corrs, The Canberries, Sheryl Crow, Alanis Morisette, Dixie Chicks ou encore dans un autre registre, celles d’Agnès Obel.
C’est donc très jeune qu’elle est initiée aux métiers du spectacle. A 9 ans, elle commence à apprendre le piano et fera ses 1ers pas au théâtre aux côtés de sa mère Corinne Moign, comédienne-chanteuse, et de son grand-père Jean Moign. Par la suite, elle s’inscrit à la chorale de son collège et se passionne immédiatement pour l’harmonie des voix. Elle chantera lors de rencontres de chorales un peu partout en Bretagne.
En 2005, Aziliz est sélectionnée pour participer aux Rencontres de d’Astaffort et fait la rencontre de Francis Cabrel, qui en quelques mots l’encourage vivement à continuer dans cette voie. Une aventure qui l’amènera à partager la scène avec Cali.
A partir de 2007, elle intègre plusieurs formations country avec lesquelles elle fera un nombre conséquent de concerts en France et en Europe. Aziliz reçoit notamment plusieurs « Awards » en France dont celui de meilleure interprète française de Country Music en 2014. Elle s’y affirme aujourd’hui comme une des chanteuses incontournables et fidélise un public toujours plus grand.
Univers :
Doucement, elle constitue son propre répertoire, avec l’aide de sa guitare. Pendant quelques années, elle façonnera ses chansons en breton, en français, en anglais. C’est en 2016 qu’elle sort son premier EP « Let it be beautiful« . Le clip de sa chanson « Get out » sera réalisé. Elle fera la 1ère partie de Soldat à Bénodet, suite à sa sortie.
L’artiste bretonne nous fait découvrir ainsi un univers musical mêlant à la fois, son goût pour les groupes de pop rock américains et sa passion des sonorités celtiques. La douceur et la fraicheur de sa voix peuvent laisser la place à une énergie folle, soutenue par des guitares folks qui nous rappellent quelque peu « Simon & Garfunkel », ou électriques à la « Cranberries »; un violon et un violoncelle qui nous font replonger dans les univers, à la fois, des « Corrs », « Laureena Mackennit » ou encore « Alan Stivel ». Rythmée également par des percussions aux sonorités brutes voir tribales, tout ceci porté par une contrebasse profonde, voilà que les White Stripes refont surface.
Aziliz Manrow nous offre ainsi un univers artistique et musical, ampli de finesse et de caractère…. Ceci lui permet d’aborder dans ses chansons un large éventail de thème.